Aujourd’hui, c’est le jour 10 de mon défi. Puisqu’il faut écrire 30 billets en 30 jours, je me dois de vous composer un petit quelque chose avant de me coucher. C’est le seul temps qui reste de cette merveilleuse journée remplie à pleine capacité.

Je me trouve un peu ridicule de me forcer. Hier, j’ai aussi manqué de temps et j’ai partagé les idées d’une autre, que je trouvais motivantes. Mais ce soir, devant mon écran, les idées tardent à venir. J’ai l’impression que c’est comme quand on ne fait que parler pour parler pour meubler une conversation, moi j’écris pour écrire pour continuer mon défi.

En même temps, je suis fière de moi. Je me dis que ça fait longtemps que ce projet me tient à coeur et peut être qu’il est nécessaire pour moi de pousser la note un peu plus loin afin de m’assurer de me rendre jusqu’au bout. J’aurais aimé prendre un pause mais les pauses ne sont pas toujours très sages, parce qu’au fond, c’est des excuses que nous sortons, non? Et ça c’est dangereux.

Parce que quand on se donne la permission une fois, on crée un précédant dans notre cerveau. Il sera bien plus facile pour lui la prochaine fois de dire «mais j’ai eu le droit à ma pause l’autre fois…». Croyez-moi il saura vous convaincre, parce que c’est intelligent un cerveau!

Alors, ce soir j’écris pour écrire mais aussi parce que j’ai décidé que tout l’effort que ça prenais pour réussir, je vais le mettre. Alors partez la musique de Rocky, je vais mener ce combat pour les 20 jours qui restent. Je serai tellement en forme à la fin (lire ici que j’aurai pris l’habitude de faire ce que j’ai à faire) que je n’aurai envie que de continuer.

Leçon du jour; Si c’était si facile, tout le monde le ferait.  Et en bonus, je vous partage une expression bien utilisée ici avec l’Homme «y’en aura pas de facile».

Bon cheminement 😉